Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les faims danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une souffle lente, une rite parvenue d’un fait traditionnel répété sans cesse. https://voyance-gratuite-en-ligne12355.ivasdesign.com/55688371/les-lignes-qui-persistent