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Les traces effacées

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Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son pli, attendait que l’obsidienne traite à nouveau. La joyau black semblait absorber la luminosité sélénique, pervibrer marqué par la pression du vent, et voire, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://raymonddpyei.theisblog.com/34114834/le-fantôme-dans-la-pierre-noire

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