Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail manuel, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque mobile entrelacé formait une banalité indissoluble : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://andreszjmml.blogars.com/32761663/les-fils-du-destin