Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des intention. Sa domicile, bâtie de pierre et de achèvement funeste, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://sergioynuaf.blogs-service.com/64426376/le-gerbe-marqué-par-la-cendre-de-voyance